Cousins, cousines: Muriel Robin

Muriel Robin



Muriel Robin (Muriel Marie Jeanine Robin) est une comédienne humoriste de one woman show et actrice française, née le 2 août 1955 à Montbrison dans la Loire.

Muriel Robin est la cadette des trois enfants d'Antoine Robin et Aimée Rimbaud, marchands de chaussures place Saint-Pierre à Montbrison. Elle a deux sœurs, Nidia et Martine. En 1960, la famille s'installe à Saint-Étienne. Très jeune, elle aime faire rire et rêve de devenir chanteuse. Après une scolarité sans éclat passée notamment au cours Sévigné de Saint-Étienne et une certaine préférence pour faire la fête, elle finit par échouer deux fois de suite à son bac. Hésitant sur sa carrière professionnelle, elle commence par vendre des chaussures dans l'un des trois magasins familiaux, sans être vraiment motivée.

En 1977, âgée de 22 ans, elle quitte Saint-Étienne pour Paris et prend des cours d'art dramatique au cours Florent et prépare le concours d'entrée au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris. Elle est reçue première et suit trois ans durant l'enseignement de ses maîtres, notamment de l'acteur Michel Bouquet. Sortie lauréate du Conservatoire, elle retourne vendre des chaussures à Saint-Étienne.

En 1981, elle part rejoindre Roger Louret, rencontré à Paris, qui se trouve à Monclar dans le Lot-et-Garonne avec sa troupe, Les Baladins en Agenais. Elle partage alors la vie de troupe : comédie, comptabilité, régie, etc. Elle rencontre notamment Elie Semoun et Annie Grégorio.

En 1983, c'est avec Annie Grégorio qu'elle remonte à Paris pour vivre l'aventure du Petit Théâtre de Bouvard. Elle y rencontre Didier Bénureau. En butte aux méthodes autoritaires de Philippe Bouvard, elle se voit toutefois offrir par celui-ci un rôle dans la pièce qu'il vient d'écrire, Double Foyer. Elle joue ensuite dans la pièce coécrite avec Didier Bénureau, Maman ou Donne-moi ton linge, je fais une machine, en 1986 à Avignon et en 1987 à Paris au Théâtre de Dix Heures. La pièce fut d'abord présentée à Monclar, au Théâtre de Poche.

Après un creux dans sa carrière, c'est dans le cadre de l'émission La Classe diffusée sur FR3 (future France 3) qu'elle se fait connaître du grand public, à la fin des années 1980. En 1988, Muriel Robin rencontre Pierre Palmade, un homme qui va beaucoup compter dans sa carrière. Ils deviennent rapidement grands amis et créent ensemble son premier one-woman-show Les majorettes se cachent pour mourir en 1988 au Tintamarre, mis en scène par Roger Louret. Ce spectacle est un vrai succès et propulse Muriel dans les médias. Viendront ensuite Un point, c'est tout en 1989 au Splendid et Tout m'énerve en 1990-1991 à l'Olympia, deux spectacles mis en scène par Roger Louret.

En 1992-1993, Bedos-Robin où Muriel propose avec Guy Bedos un spectacle commun à l'Olympia mis en scène par Roger Louret.

En 1994, Muriel joue deux pièces de Georges Feydeau avec Pierre Richard (Feu la mère de Madame et On purge Bébé) au Théâtre Edouard VII, mise en scène de Bernard Murat.

En 1995 Muriel anime à la radio, sur Europe 1, l'émission Robin Déboise avec Philippe Massé.

En 1996, Tout Robin au Casino de Paris, sélection de sketches anciens.

En 1997, elle obtient son premier rôle au cinéma en remplacement de Valérie Lemercier dans Les Couloirs du temps : Les visiteurs 2 de Jean-Marie Poiré. La même année, elle écrit et met en scène avec Pierre Palmade le spectacle Ils s'aiment, joué par Pierre Palmade et Michèle Laroque, qui obtient un vif succès public et une nomination au Molière du meilleur one man show ou spectacle de sketches. Elle co-écrit et met en scène la suite Ils se sont aimés.

En 1998, elle réalise la mise en scène du spectacle d'Elie Semoun : Elie et Semoun.

En 1998-1999, Toute seule comme une grande à l'Olympia, puis au Zenith et en tournée. Elle annonce à l'occasion de la dernière de ce spectacle à l'Olympia, en mai 2000, son intention d'en finir avec le one-woman-show traditionnel afin de se consacrer à son métier de comédienne.

En 2000, premier vrai grand rôle au cinéma dans le rôle éponyme Marie-Line de Mehdi Charef.

Retour sur les planches en 2002, dans la Griffe mis en scène par Annick Blancheteau, au théâtre Fontaine.

Muriel crée un spectacle d'un genre nouveau (sketches, music-hall) Au secours à la fin de 2004, présenté ensuite au Grand Rex en janvier 2005. Tournée ensuite et dernière en décembre 2005 au Grand Rex.

Entre-temps, en 2005, Muriel est à l'affiche du film réalisé par Coline Serreau Saint Jacques... La Mecque.

En octobre 2006, Muriel crée l'événement télévisuel avec Marie Besnard, l'empoisonneuse, réalisé par Christian Faure.

Depuis 1992, elle participe activement chaque année aux concerts des Enfoirés donnés pour les Restos du Cœur créés par Coluche et dont elle est la marraine. En 2001, elle s'est également engagée, avec la journaliste Marine Jacquemin, aux côtés de La Chaîne de l'Espoir dans la réalisation de l'Institut Médical Français pour l'Enfant de Kaboul[1] en Afghanistan. Cet hôpital a ouvert ses portes en 2005.

Muriel Robin a remporté l'Emmy Award du meilleur rôle féminin le 19 novembre 2007 à New York, pour son interprétation de Marie Besnard dans le téléfilm "Marie Besnard, l'empoisonneuse".

Muriel Robin est, aux côtés de Line Renaud, à l'affiche de la pièce de théâtre Fugueuses, écrite par Pierre Palmade et Christophe Duthuron. La dernière représentation de la pièce fut diffusée en direct sur France 2, le samedi 5 janvier 2008 à 21 heures, et avait réuni près de 8 millions de téléspectateurs (audience exceptionnelle pour une chaîne du service public).

Muriel Robin a été promue au titre de la Légion d'honneur lors de la promotion janvier 2008.


Après d’être retirée de la scène médiatique pendant quelques temps pour des raisons personnelles, elle revient en 2013 avec un nouveau spectacle intitulé Mureil Robin revient…tsoin, tsoin.
(Source Wikipédia)


Voici notre ascendance commune :


Jean MISSONNIER x Jeanne MATHEVON



Louis MISSONNIER
Marguerite GOURBEYRE
Thomas MISSONNIER
Michelle ARTAUD
Gabrielle MISSONNIER
Jean LACHAMP
Jean MISSONNIER
Jacqueline ARTAUD
Antoine LACHAMP
Jacqueline BEGOUNIN
Marguerite MISSONNIER
Antoine BERNARD
Michelle LACHAMP
Cosme CHASTRE
Claude BERNARD
Marie MATHEVON
Marguerite CHASTRE
Jean Marie ROCHE
Jacques BERNARD
Marie ARTAUD
Marie Adélaïde ROCHE
Benoit ROBIN
Jeanne Marie BERNARD
Jean VOLDOIRE
Antoine ROBIN
Aimée Marie Joséphine RIMBAUD
Marius VOLDOIRE
Jeanne Marie CHEVALEYRE

Joseph Maurice Marcel VOLDOIRE
Onésime Eléonore MAYET


Muriel ROBIN
Jean-Claude VOLDOIRE


Cousins, cousines: Régis Michalias







Régis MICHALIAS
Biographie

Né à Ambert le 13 février 1844, il y décède le 05 février 1916.

Il ne quitta guère sa ville natale que pour faire ses études au lycée de Clermont-Ferrand et à l’Ecole Supérieure de Pharmacie de Paris. C’est à Ambert qu’il s’installa et exerça sa profession de 1873 à 1895. Son métier le mit en contact avec les paysans des environs et durant des années, il put collectionner mots, expressions, dictons et proverbes.

Mais ce n’est que sur le tard, une foi sa retraite prise, que Régis MICHALIAS va commencer à écrire des poèmes. En 1904 parurent les « Ers de lous Suts » (Chants des montagnes) et en 1908 les « Ers d’uen Païsan » (Chants d’un paysan). Il publia également un « Glossaire des mots particuliers du dialecte d’oc de la commune d’Ambert » et un « essai de grammaire auvergnate ».

Henri POURRAT disait de lui : « Au moins, il a sauvé l’essentiel….Il a sauvé non pas seulement le patois, le vrai, le vieux, mais quelque chose qui disparaît aussi ; l’ancienne vie paysanne….Sa poésie est non pas lyrisme, mais plutôt sentiment profond et retenu de sa terre, des travaux des champs, des objets familiers….Il sent la nature à l’auvergnate, en métayer de chez nous, voyant déjà le pain dans le blé et, dans le fût de l’arbre, la bûche pour l’hiver…..

Citons également Frédéric MISTRAL qui lui écrivit après la parution de « l’Ers de lous Suts » : « …..Vous émergez de la foule avec une voix neutre et des couleurs nouvelles et des fraîcheurs immaculées. Votre livre, c’est le Félibrige , en costume d’Arverne, atteignant les cimes du Puy-de-Dôme et au plus hait de notre langue, chantant les joies de l’alouette et de la nature au réveil….Un barde du temps de Vercingétorix n’aurait pas été plus Arverne que vous ». (Source CGHAV)

Dans les strophes de ses poèmes en langue auvergnate, il évoque ces scieurs de long qui partaient en masse de nos montagnes pour gagner un peu d’argent et que nous retrouvons dans notre généalogie commune :


Mathieu CHEVALEYRE
Gabrielle DUCHAMPT

Antoine CHEVALEYRE
Catherine GOURBEYRE

Claude CHEVALEYRE
Gabrielle CHEVALEYRE
Pierre BONNETON
Michelle CHEVALEYRE

Jacqueline CHEVALEYRE
Guillaume ARTAUD
Guillaumette BONNETON
Cosme GRANGEON

Marie ARTAUD
Jean BERNARD
Jeanne GRANGEON
Charles MICHALIAS

Ysabeaux BERNARD
Antoine MATHEVON
Barthelemy MICHALIAS
Anne VIALATTE

Marie MATHEVON
Claude BERNARD
Barthelemy MICHALIAS
Damiane COTTIER

Jacques BERNARD
Marie ARTAUD


Jeanne Marie BERNARD
Jean VOLDOIRE


Marius VOLDOIRE
Jeanne Marie CHEVALEYRE


Joseph Maurice Marcel VOLDOIRE
Onésime Eléonore MAYET
Régis MICHALIAS

Jean-Claude VOLDOIRE


Cousins, cousines: Florence Arthaud

Florence ARTHAUD




Florence Arthaud, surnommée la petite fiancée de l’Atlantique, née le 28 octobre 1957 à Boulogne Billancourt est une navigatrice. Elle est la fille de Jacques Arthaud qui a été directeur de la maison d’édition Arthaud.

Biographie (Source Wikipédia)
A 17 ans, elle est victime d’un grave accident de voiture, soldé par un coma et une paralysie.
Elle a une fille, Marie avec Loîc Lingois, navigateur professionnel né en 1966.
Lors de la Route du Rhum 1986, elle se déroute pour porter assistance à Loîc Caradec. Elle retrouvera le catamaran Royale retourné sans trace de Caradec.
En 1989, elle chante en duo avec Pierre Bachelet une chanson intitulée Flo. En août 1990, elle s’attaque au record de la traversée de l’Atlantique Nord à la voile en solitaire, détenu par Bruno Peyron. En 9 jours 21 heures et 42 minutes, elle améliore la performance de prés de deux jours. Quelques mois plus tard, elle part de Saint-Malo pour la quatrième édition de la Route du Rhume : elle rejoint Pointe-à-Pitre en tête, après 14 jours 10 heures et 10 minutes passés seule e, mer à la barre de son trimaran Pierre Ier.
Elle est élue Championne des champions français par le journal L’Equipe en 1990, et est la seule sportive avec Marielle Goitschel a avoir obtenu à deux reprises la prix Monique Berlioux de l’ Académie des sports (en 1978 et 1990), récompensant la meilleure performance féminine sportive de l’année écoulée.
En juillet 1997, elle remporte la Transpacifique comme équipière de Bruno Peyron.
Elle participe e, 2004 à la transat en double Lorient-Saint Barth avec Lionel Pean, et en 2006 à l’Odyssée Cannes-Istanbul sur monotype Bénéteau Figaro II avec Luc Poupon (le frère de Philippe Poupon).
Le samedi 29 octobre 2011, elle tombe de son bateau en pleine nuit au large du Cap Corse. Disposant par chance d’une lampe frontale et d’un téléphone portable étanche, elle parvient à appeler sa mère qui prévient son frère. Le CROSS-Med est alors alerté, et près de deux heures après son appel de détresse, elle est récupérée par le biais de la géo localisation de son téléphone portable. Consciente mais en état d’hypothermie, elle est hospitalisée vers l’hôpital de Bastia, dont elle sortira le lendemain.
Elle décède le 9 mars 2015 dans un accident d’hélicoptère en Argentine durant le tournage d’une émission de télévision.
(Source wikipédia)

Livres
-       Fiancée de l’Atlantique, Editions du Pen-Duick, 1982
-       L’Océane, Flammarion/Arthaud, 2008
-       Un vent de liberté, Flammarion/Arthaud, 2009
-       Cette nuit, la mer est noire, 2015

Les origines papetières de Florence Arthaud
Qui parcourt les anciens de catholicité de Valcivières ne peut pas ne pas être frappé par la fréquence du patronyme de Artaud (sur 1805 actes de mariages en 1606 et 1792, on trouve 457 fois le nom de Artaud, soit le 1/8ème des mariés et mariées.
Initialement orthographié « ARTAULD », ce patronyme a laissé son nom au village de l’Artaudie ,connu dès le XIVème siècle, par le registre des tailles au profit de la reine Jeanne de France, Comtesse d’Auvergne et Dame d’Ambert et de Valcivières. On trouve une multitude de Artaud non seulement à Valcivières mais aussi à Job et Ambert.
C’est parmi cette multitude que l’on trouve les premiers ancêtres certains de Florence Arthaud qui habitaient le hameau de Louville.
-1- Antoine Artaud et Clauda Clouvel.
            L’on connait peu de choses de ce couple. Leur union, probablement célébrée vers la fin des années 1610, donna naissance à cinq enfants au moins dont :
-2- Jean Artaud et Agathe Artaud.
            Jean (le cadet), baptisé le 16 janvier 1626, étant né à Louville et qui épousé à Valcivières, le 10 janvier 1652 Agathe Artaud, fille d’André (une de ses cousines ?) continua à résider à Louville. Il travaille dans la papèterie, probablement comme simple compagnon dans l’un de moulins de la vallée. Neuf enfants vont naître de cette union, dont :
-3- Guillaume Artaud.
            Troisième enfant de Jean et Agathe Artaud, Guillaume fut baptisé à Valcivières le 27 février 1658. Compagnon papetier au village de Louville, il épouse à Ambert, le 14 novembre 1691 Claudine Sauvade, « fille à sieur Martin Sauvade et à honneste Anne Malmenayde, habitants aux moulins de la terrasse au Petit Vimal ». Le couple s’installa à la Forie où décéde Claudine Sauvade le 29 septembre 1704 laissant à son époux sept enfants.
            Tout porte à croire que c’est bien le même « sieur Guilhaume Artaud maître papetier au lieu de La Forie paroisse de Job » qui fut l’un des consuls pour l’année 1699. Mais soyons prudents ! il s’agit peut-être d’un homonyme.
            Guillaume Artaud se remaria, après un court veuvage avec dame Marie Vidal, d’une famille également connue par ses alliances papetières ? Elle devait lui donner un fils Pierre.
            Des huit enfants de Guillaume Artaud, plusieurs continuèrent la tradition papetière :
-       Jean (l’ainé), né en 1691, hérita du moulin du Buy.
-       Claude, né au Buy le 9 mars 1697 tint successivement le moulin de Taboulet, puis celui de la Terrasse.
-       Jacques, né au Buy le 12 mars 1698, exploita avec son frère puiné Guillaume le moulin de Suchet à Marsac.
-       Guillaume, né au Buy le 14 janvier 1701. Dans son contrat de mariage, il est dit « marchand fabriquant papetier à Escalon, paroisse d’Ambert..
-       Pierre, qui, suit.
-4- Pierre Artaud
            Né le 27 juillet 1707, Pierre épousé à Ambert le 19 août 1732 Jeanne Sauvade, belle sœur de son demi frère Jacques. Désigné tout à tour comme « Papetier », « marchand papetier habitant à Escalon », il décède à 72 ans le 12 mars 1779. Son épouse lui donne pas moins de treize enfants dont :
-5- Pierre Artaud
            Dixième de treize enfants de Pierre et Jeanne Sauvade, Pierre est né à Ambert le 25 février 1747. Il se maria le 10 mai 1769, après une dispense de consanguinité du 4ème au 4ème degré de consanguinité à Marie Anne Favier.
            Il était à cette date « fabriquant de papier habitant à Saint-Didier (en Velay), diocèse du Puy ».
            Son beau-père, fabriquant de papier à Tence en Velay, travaillait comme sous-traitant pour le compte de Montgolfier d’Annonay.
-6- Jean Artaud
            Fils de Pierre et Jeanne Sauvade, il naquit à Ambert le 4 mars 1776. L’on sait peu de choses sur lui, si ce n’est qu’il épousé Catherine Rodarie. Nous connaissons deux fils à ce couple, dont :
-7-César Hippolyte Artaud
            Il reprit le flambeau papetier et épousa Marie Andrieux (1802-1873), issue d’une famille de papetier thiernois et s’installe à Mirabel et Blaçons. Il mourut jeune le 21 septembre 1837.
           
            Avec les générations suivantes, les Artaud perdirent tout contact suivi avec la région d’origine de leurs ancêtres, et leur patronyme se transformera peu à peu en « Arthaud ».
            Blaise Auguste Arthaud (1826-1894) et Pierre Auguste Benjamin Arthaud (1851-1910), el fils et le petit-fils de César Hippolyte furent tous les deux industriels à Fontaine, dans l’Isère.
            De son second mariage avec Joséphine Montagne, Pierre Auguste Benjamin Arthaud eut un fils Benjamin Arthaud (1896-1983) qui fonda en 1924 les Editions Arthaud qui portent toujours son nom.
            Ses deux enfants Jacques, père de Florence et Claude, sa tante, sont actuellement co-directeurs des Editions Arthaud.
            (Source CGHAV)

            Le tableau ci-dessous montre notre ascendance commune :




Jean ARTAUD x Agathe ARTAUD



Guillaume ARTAUD

Guillaume ARTAUD
  Jacqueline CHEVALEYRE
Pierre ARTAUD
  Jeanne SAUVADE
Marie ARTAUD
 Jean BERNARD
Pierre ARTAUD
 Marie Anne FAVIER
Ysabeaux BERNARD
  Antoine MATHEVON
Jean ARTAUD
Catherine RODARIE
Marie MATHEVON
 Claude BERNARD
César Hip. ARTAUD
Marie ANDRIEUX
Jacques BERNARD
Marie ARTAUD
Blaise Auguste ARTHAUD
BOUCHE Marie
Jeanne Marie BERNARD
Jean VOLDOIRE
Pierre A. B. ARTHAUD
Joséphine MONTAGNE
Marius VOLDOIRE
 Jeanne Marie CHEVALEYRE
Benjamin ARTHAUD
  REY Marie Thérèse
Joseph Maurice Marcel VOLDOIRE
Onésime Eléonore MAYET
Jacques ARTHAUD
  ?

Florence ARTHAUD
Jean-Claude VOLDOIRE

Ascendance de Marie Clémence Thérèse Servol



Le jour de ses 100 ans

La "mémé Gacou" est né à Giat le 8 novembre 1886.
Très jeune, elle perd sa maman et doit, en plus de son métier de servante, s'occuper de ses frères et soeurs.
Elle se marie avec Antoine Mayet le 03 mai 1909 à Giat.
Elle décède à Ambert le 15 septembre 1989 à l'âge de 103 ans.

Ascendance d'Antoine Mayet



Le "pépé Mayet" est né à Marat (La Penderie) le 11 février 1880.


Il y exerce la profession de sabotier avec son père et ses frères.

Il se marie le 3 mai 1909 à Giat avec Marie Clémence Thérèse Servol.


Il participe à la première guerre mondiale et notamment à la bataille de Verdun.

De son union naissent 6 enfants: Marius, Rachel, Jean Joseph, Anna, Marguerite et Marie.

Entre 1921 et 1926, il s'installe à Cunlhat (Le Malberton) où il exerce la profession de fermier.

Après sa retraite, il s'installe à Bertignat, puis à Ambert où il décède le 12 avril 1972.

Ascendance d'Antoine MAYET


Ascendance de Jeanne Marie Chevaleyre


La "mémé Voldoire" est née le 26 décembre 1887 à Valcivières. Elle était connue comme "La Jeanne Marie de chez Pirette". Elle épouse à Valcivières le 16 septembre 1911 Marius Voldoire. Elle a passé les dernières années de sa vie, en alternance, chez chacun de ses enfants. Elle décède à Ambert le 19 février 1971.

Ascendance de Jeanne Marie Chevaleyre

Ascendance de Marius Voldoire.


Je n'ai malheureusement pas connu mon grand père Voldoire.
Il est né le 31 août 1884 à Valcivières. C'était un modeste cultivateur à Valcivières puis à Puvic et enfin à Bertignat. Il a également fait plusieurs campagnes en Normandie comme scieur de long. Il a participé à la Grande Guerre d'où il est revenu avec une très grave blessure. Il épouse à Valcivières le 16 septembre 1911 Jeanne Marie Chevaleyre qui lui donne 4 enfants Marie, Marcel, Jean et Henri. Il décède le 02 février 1948 à Bertignat.

Ascendance de Marius Voldoire